Il revient à la barre pour les éliminatoires de la Coupe du monde 1986, sans succès. Tête de série lors du tirage au sort, la Colombie tombe dans le groupe C de la Coupe du monde avec la Côte d'Ivoire, la Grèce et le Japon. En 1972, la fédération colombienne parie sur le Yougoslave Todor Veselinović pour qualifier la sélection pour la Coupe du monde 1974 en Allemagne. La confrontation finale de ce groupe face à la RFA s'avère donc cruciale. Les cinq premiers entraîneurs étrangers ayant dirigé les Cafeteros, les Argentins Fernando Paternoster, Lino Taioli (es), Rafael Orlandi (it), l'Autrichien Friedrich Donnenfeld et le Péruvien José Arana Cruz (es), ont une brève implication dans l'équipe et restent en poste moins d'un mois[107]. Après avoir atteint les huitièmes de finale, il quitte le banc colombien. Avec six buts, Víctor Aristizábal est le meilleur buteur de l'édition 2001[60]. Le sombrero vueltiao est représenté à l'intérieur de la bande bleue sur le devant du maillot. En plus des scores de Colombienne, vous pouvez suivre +de 1000 compétitions de football dans plus de 90 pays autour du monde sur FlashScore.fr. Il est tout neuf, il est tout beau! La Colombie dispute ensuite la Copa América 1963 dont elle termine dernière avec un seul point pris contre le Pérou[28]. Au match suivant contre le Chili, le 11 octobre 2013, la Colombie encaisse trois buts dans la première demi-heure de jeu, mais revient à la marque en seconde mi-temps après que José Pekerman a fait des changements cruciaux. Il récidive quatre ans plus tard en emmenant de nouveau les Cafeteros à leur sixième phase finale, en Russie, en 2018. La Copa América 1975 (le premier championnat d'Amérique du Sud à prendre l'appellation officielle de « Copa América ») se joue du 17 juillet au 28 octobre 1975[32] sans pays organisateur. Pendant cette période, l'équipe colombienne participe à trois phases finales de Coupe du monde d'affilée, et décroche son principal trophée : la Copa América en 2001. Le choix du bleu ciel peut venir de trois des meilleures équipes du monde à l'époque : l'Uruguay (champion olympique en 1924 et 1928 et premier gagnant de la Coupe du monde en 1930), l'Italie (vainqueur de la Coupe du monde en 1934 et 1938), l'Argentine (vice-championne olympique en 1928 et finaliste de la Coupe du monde en 1930)[109]. Pourtant, la Colombie continue à jouer pour gagner, tandis que le Cameroun choisit un jeu défensif en gardant son équipe dans sa moitié de terrain. Elle vainc d'abord le Pérou (1-0), puis tombe contre le Panama (1-2), avant d'obtenir deux victoires contre l'Équateur et le Venezuela par deux buts à un[7]. Bien que Novoa est l'entraîneur, les convocations des joueurs sont l'œuvre d'Efraín Borrero[105]. En 1962, l'équipe de Colombie atteint pour la première fois le premier tour d'une phase finale de coupe du monde. Partenaire d'Iguarán en attaque pendant plusieurs compétitions internationales, Antony de Ávila inscrit treize buts en cinquante-quatre matchs entre 1983 et 1998 avec les Cafeteros[20]. En 1989, elle est éliminée au premier tour de la Copa América[40]. Pour la Copa América 1991, la Colombie utilise des maillots de la marque espagnole Kelme et conserve les mêmes couleurs que l'année précédente, chemise rouge pour les matchs à domicile et chemise jaune pour les matchs à l'extérieur[126],[127]. Elle se qualifie pour les phases finales de six éditions (1962, 1990, 1994, 1998, 2014 et 2018) et en atteint les quarts de finale en 2014, ce qui constitue jusqu'à présent sa meilleure performance lors d'un Mondial. Sélections et buts actualisés le 20 avril 2020. Ancien entraîneur de l'Independiente Santa Fe, « Toza » ne reste en poste qu'un an et l'espoir de voir l'équipe nationale en Coupe du monde se dissipe au fil du temps[107]. La couleur blanche, symbolisant la paix, est présente sur le col et les manches, ainsi qu'une ligne horizontale rouge sur le dos, commune à toutes les équipes nationales qualifiées pour le mondial brésilien et habillées par le même équipementier. En 1945, l'équipe de Colombie participe pour la première fois au Championnat d'Amérique du Sud, au Chili, où elle évolue avec des joueurs du Junior de Barranquilla et une tenue blanche avec une bannière tricolore à hauteur de la poitrine[110],[111]. Junior: Una historia de diamantes, Barranquilla: Fama Producciones. Les 29 et 30 décembre 2002, les dirigeants de la fédération se rendent au Panama pour négocier avec l'entreprise de vêtements de sport italienne Lotto[132], et obtiennent un contrat jusqu'en 2010. Ils se ressaisissent une semaine plus tard en battant la Tunisie sur le même score (1-0, but de Léider Preciado)[57]. Pour la Copa América 1983, elle est éliminée au premier tour, battue par le Pérou[37]. L'équipe colombienne n'entretient pas de rivalité avec une équipe en particulier, mais elle a connu des confrontations historiques qui ont généré de grandes attentes envers certaines sélections. Le second, douze buts en quarante-neuf matchs internationaux[20] et rival de Díaz dans le championnat colombien, est considéré comme le meilleur footballeur colombien de l'histoire[88]. Pendant la compétition, le milieu de terrain Marcos Coll leur vole la vedette en inscrivant un but depuis le poteau de corner au légendaire gardien de but soviétique Lev Yachine[86]. Après 31 ans où se succèdent les sélectionneurs colombiens, l'Argentin José Pekerman est nommé le 4 janvier 2012 à la tête de la sélection en vue d'une qualification pour la Coupe du monde 2014 au Brésil. Le défenseur Andrés Escobar, un but en cinquante capes de 1988 à 1994[20] et particulièrement apprécié par les supporteurs de l'Atlético Nacional, est l'auteur d'un but contre son camp à la Coupe du monde 1994 conduisant à son assassinat deux semaines plus tard. Pendant cette période, Pedernera est le premier à qualifier les Colombiens pour une phase finale de Coupe du monde en écartant le Pérou. Le condor des Andes est au dos du maillot, sous le col. Sur l'oiseau figure le hashtag #UnidosPorUnPais (en français : « Unis pour un pays »), qui montre l'effet unificateur de l'équipe nationale. Ahmed Aguirre Acuña (2003). Marcos ‘L’Olympique’ Coll (Colombie : 1956-1962) Enfin Aristizábal, quinze buts en soixante-six matchs entre 1993 et 2003[20], participe aux Coupes du monde 1994 et 1998, mais c'est à la fin de sa carrière internationale qu'il est le plus efficace, finissant meilleur buteur de la Copa América 2001. Lors des qualifications pour la Coupe du monde 1994, la victoire historique en Argentine dans les éliminatoires de la Coupe du monde 1994 est la première défaite de l’Albiceleste dans son antre du Monumental lors d'un match de qualification pour une Coupe du monde. Ces changements n'ont pas les effets escomptés, en dépit de quelques bonnes prestations comme le 5 septembre 2009 et une victoire sur l'Équateur 2-0 avec des buts de Jackson Martínez et de Teófilo Gutiérrez[64] ou lors de la dernière journée et une ultime mais vaine victoire sur le Paraguay 2-0 avec des buts d'Adrián Ramos et Hugo Rodallega[65]. Álvarez, milieu de terrain défensif de vocation au jeu réputé physique, occupe quant à lui le poste de médian devant la défense colombienne au Mondiale 90 en Italie et à la World Cup 94 aux États-Unis. Gabriel Ochoa Uribe (en) fait de même pour l'édition de 1963. Il est imité peu après par son coéquipier en club Fulgencio Berdugo (en), seize sélections et trois buts de 1945 à 1949[20], qui part jouer en professionnel à Cuba dans les années 1950[82]. Pour la Copa América 1993[129] et la Coupe du monde 1994[130], l'équipe nationale colombienne est habillée par la marque anglaise Umbro avec les mêmes couleurs : maillot jaune, short bleu et bas rouges et chemise bleue pour les matchs à l'extérieur. Les Cafeteros sont considérés comme les favoris du groupe malgré l'absence pour blessure de Falcao, joueur important pour la sélection[73],[74]. Sélectionné en Tricolor de 1938 à 1947 et premier Colombien à signer dans un club étranger, Roberto Meléndez (en) est considéré comme le meilleur footballeur colombien de sa génération[80]. La FIFA suspend l'équipe nationale et les clubs colombiens de toute compétition internationale qu'elle organise. Bonsoir En raison de l’application du couvre feu à 20h00 et fermeture des installations sportives à 19h30, nous sommes dans l’obligation de... ✨☀️En dépit d'une année 2020 très particulière et à vite oublier,#ESCF#ESColombienneFootball souhaite à toutes et à tous, joueuses,... La rentrée footballistique est prévue mercredi 05/09 à partir de 9H Entraîneur de l'Atlético Junior, Donnenfeld devient le premier Européen sélectionneur de l'équipe de Colombie car son club est choisi pour représenter la Colombie dans le tournoi sud-américain[14]. La fédération nationale de la Colombie … Mais à la surprise générale, elle ne termine que sixième des éliminatoires, à égalité de points avec l'Uruguay, mais avec différence de buts insuffisante (+6 pour l'Uruguay, +5 pour la Colombie) ; et ce malgré une victoire lors du dernier match à Asuncion contre des Paraguayens déjà qualifiés (4-0)[61]. De même en 1982, avec le même nombre de points (deux matchs nuls contre le Pérou)[35]. À bientôt, parce que la vie ne s'arrête pas là »[99]. Elle y affronte le Pérou, sur deux matchs organisés à Bogota puis à Lima. En 1946, l'équipe obtient son premier titre officiel lors des cinquièmes Jeux d'Amérique centrale et des Caraïbes tenus à Barranquilla, en battant successivement Curaçao (4-2), le Venezuela (2-0), le Guatemala (4-2), Porto Rico (4-1), le Costa Rica (4-1) et le Panama (2-1)[10],[11]. Après trois victoires au premier tour, elle élimine le Pérou (3-0) en quart de finale, puis le Honduras (2-0) en demi-finale. L'équipe de Colombie atteint le stade des demi-finales, où elle est battue par le Cameroun (0-1) lors d'un match marqué par la mort tragique du Camerounais Marc-Vivien Foé qui s'effondre brutalement. Contrairement à d'autres rivalités hostiles, celle entre la Colombie et l'Argentine est plus basée sur le respect et attire toujours un grand intérêt entre les deux pays, comme en témoignent les applaudissements de la foule argentine après la victoire 5-0 de la Colombie[141],[101]. Ces derniers résultats ont pour effet de reléguer l'équipe colombienne à la septième place au classement. L'équipe de Colombie de football (Selección de fútbol de Colombia) est la sélection de joueurs colombiens représentant le pays lors des compétitions internationales de football masculin, sous l'égide de la Fédération colombienne de football. Voici 10 joueurs de football qui ont laissé leur empreinte dans l’histoire de l’équipe de football de Colombie et dans le monde. Les premières traces de cette équipe remontent à 1924 lorsque la Fédération Colombienne de football est crée. En demi-finale, elle bat le tenant du titre uruguayen sur l'ensemble des deux matchs et accède à la finale. Le défenseur Iván Córdoba, soixante-treize sélections et cinq buts entre 1997 et 2010[20], est le capitaine et l'auteur du but des Cafeteros en finale de la Copa América contre le Mexique. Après avoir purgé sa suspension de compétitions internationales, la Colombie prend part aux éliminatoires de la Coupe du monde 1958 sous la houlette de l'Argentin Rafael Orlandi (it). Au début des années 1980 elle porte toujours le même uniforme, mais parrainé par la marque française Le coq sportif[116]. Ces tensions politiques ont amené le surnom de « Clásico de la Frontera » à leur confrontation dans le football[144]. Le sélectionneur colombien Leonel Álvarez est limogé après la défaite et à peine trois mois au poste. Il garde les buts des Tricolor au cours de cinq des six matchs de la Copa América 2001, n'encaissant aucun but. L'année suivante, à l'occasion de la Copa América Centenario (édition spéciale commémorant les cent ans du tournoi), les Cafeteros sont battus 2-0 en demi-finale par le Chili (tenant du titre et vainqueur in fine de l'épreuve). Le football est l’une des passions de la Colombie et le pays a vu naître des légendes tout au long de l’histoire de ce sport. Par la suite, la Colombie fait face à un drame terrible : son défenseur Andrés Escobar, coupable d'avoir marqué un but contre son camp à la 35e minute lors du match face aux États-Unis ayant entraîné l'élimination, est assassiné quelques jours plus tard, à la sortie d'un restaurant à Medellín[54]. Dans une période mitigée pour le football colombien au cours de laquelle se sont succédé de nombreux techniciens étrangers (César López Fretes, Todor Veselinović…), deux joueurs sortent du lot et permettent à leur sélection d'atteindre la finale de la Copa América 1975, Ernesto Díaz et Willington Ortiz. [2] Elle est affiliée à la FIFA depuis 1936. Au cours de son histoire, l'équipe de Colombie change à de nombreuses reprises la couleur de son maillot. Précieux conseils et bonne humeur Étaient  au rendez vous, Séance du Samedi 06/02/2021 pour nos Catégories U10 et... (6 photos), Entraînement de ce samedi 23 Janvier 2020  (4 photos), Création du site du club avec Sportsregions. Aide: Résultats en direct de football sur FlashScore.fr – Championnat Colombie. Buteur sur penalty à la Coupe du monde 1962, Francisco Zuluaga dirige en 1968 et en 1969 quinze matchs des Cafeteros, n'en gagnant qu'un seul[104]. Qu’elle soit,... Création du site du club avec Sportsregions À cette occasion, elle ne franchit pas le premier tour avec deux défaites contre l'Uruguay (1-2, but de Francisco Zuluaga sur penalty) et contre la Yougoslavie (0-5) et un match nul contre l'Union soviétique (4-4, buts d'Aceros, de Marcos Coll, d'Antonio Rada et de Marino Klinger)[23].