La compréhension de la langue jap… Le 13 décembre correspond traditionnellement au début des préparatifs du Nouvel An (koto hajime, littéralement, le « début des choses »). Chaque année, pour le 25 octobre, les enfants des écoles japonaises confectionnent des grues en origamis. Le 2 janvier, les enfants se livrent traditionnellement à l’art de la calligraphie en traçant des idéogrammes de bon augure (kakizome). L’équinoxe d’automne (aki higan) donne lieu à une semaine de célébrations qui commence trois jours avant et finit trois jours près le jour proprement dit de l’équinoxe. Le dernier jour de l’année (ômisoka), les habitants de l’Archipel consacrent traditionnellement leur temps aux préparatifs du Nouvel An. Pendant cette période, on assiste à un florilège de feux d’artifice dans tout le pays. Elles décorent l’intérieur de leur maison avec une petite estrade à gradins où sont exposées des figurines représentant l’empereur et l’impératrice en compagnie de leur suite et de leur mobilier. Certaines entreprises organisent elles aussi à une fête du Sport pour renforcer les liens entre les employés et leurs familles. Elles sont célébrées afin de remercier et prier les dieux pour une bonne récolte, pour le repos de l' âme, la fécondité et la prospérité. Elle avait deux ans pendant la deuxième guerre mondiale et habitait Hiroshima quand la bombe atomique explosa le 6 août 1945. Au Japon, le deuxième lundi du mois de janvier est un jour férié où l’on fête les jeunes gens qui viennent d’avoir vingt ans – l’âge de la majorité (seijin) au Japon – ou seront majeurs avant le 1er avril de l’année en cours. À l’origine, cette célébration, que l’on désigne aujourd’hui sous le nom de « fête des enfants », était le pendant masculin de la fête des poupées (hina matsuri) du 3 mars, dédiée aux petites filles. SUGOII!!! Bien que la date officielle d'O-bon se situe au mois de juillet, une grande partie de l’Archipel célèbre la fête des morts avec un mois de retard, c’est-à-dire aux alentours du 15 août. Habituellement, les Japonais ne rmettent pas de bijoux avec le kimono. HIVERS (21 déc. Cette fête est issue d’une légende selon laquelle deux étoiles : Altaïr (étoile du bouvier) et Véga (étoile de la tisserande) ne se rencontrent qu’une fois par an à cette date. Cette journée commémore le souvenir d’une petite fille, Sadako Sasaki. Les enfants et les adolescents reçoivent des étrennes sous forme d’argent (otoshidama) et ils se distraient avec des passe-temps traditionnels, cerfs-volants (tako), jeu de volant (hanetsuki) avec des raquettes en bois plein (hagoita), ou trictrac (sugoroku), un jeu de société constitué d’un damier, de pions et de dés. Ces commémorations montrent le respect et l’attachement qu’ont les Japonais pour leurs enfants, les personnes âgées, la … Fêtes et célébrations en tous genres y sont particulièrement nombreuses, certaines d’origine très ancienne, en rapport avec la religion ou le rythme des saisons, d’autres modernes ou insolites. Les origamis furent vendus et grâce à cet argent, ils construisirent une statue en l’honneur de Sadako et de tous les enfants touchés par la bombe. La tradition, qui se fondait sur l’ancien calendrier luni-solaire, voulait qu’on se livre à cette pratique le quinzième jour du huitième mois (jûgoya) et le treizième jour du neuvième mois (jûsanya), des dates qui correspondent respectivement à la mi-septembre et à la mi-octobre dans le calendrier actuel. Les illustrations sont très agréables. Au Japon, le deuxième lundi du mois de janvier est un jour férié où l’on fête les jeunes gens qui viennent d’avoir vingt ans – l’âge de la majorité (seijin) au Japon – ou seront majeurs avant le 1er avril de l’année en cours. En haut, l’empereur et l’impératrice, avec, un peu plus bas, leur suite, y compris des musiciens, leur vaisselle, leur mobilier, et, tout en bas leur palanquin et leur char. Fête de Sadako Sasaki ou Fête des 1 000 grues. LES FÊTES TRADITIONNELLES JAPONAISES. Cette célébration a pour but de remercier les divinités d’avoir protégé les enfants et de leur demander de continuer à les garder en bonne santé. Les coutumes et les rites associés à ce moment précis de l’année sont très proches de ceux de l’équinoxe de printemps (haru higan) du mois de mars. Les carpes sont des poissons capables de remonter des rivières à fort courant. Sadako commença alors à confectionner les 1000 grues en origami, espérant qu’elle obtiendrait ainsi la guérison. Le 15 novembre, les Japonais célèbrent la fête du Shichi go san (littéralement, « sept, cinq, trois »). La proportion des enfants dans la population de l’Archipel a diminué au point d’en être préoccupante. (À gauche) Un exemple de décoration traditionnelle (, (À gauche) Exemple de figurines exposées lors de la fête, (À gauche) Le 5 mai, jour de la fête des enfants, on voit des carpes aux couleurs rutilantes flotter dans le vent, au-dessus des toits des maisons de l’Archipel. Vêtus d’un kimono traditionnel léger en coton (yukata), ils se mettent à exécuter des danses joyeuses et rythmées tout autour d’une estrade sur laquelle ont pris place des musiciens. Il existe plusieurs versions du kimono, des formes les plus sophistiquées à porter à l'occasion des mariages aux plus détendues à porter en été ou pour la nuit. La fête la plus importante est celle du nouvel an. Le terme tsukimi, littéralement « regarder la lune » fait référence à une coutume consistant à contempler le ciel par une nuit sans nuages, au moment de la pleine lune. C’est d’ailleurs un sujet qui fait souvent la une des médias à cette époque de l’année. Même s'il y a le terme "Soba" dans le nom, ce plat utilise des nouilles de blé est non pas des nouilles de sarrasin. A cette occasion, les Japonais célèbrent la nature et les êtres vivants. Elle couvre une zone qui va du nord de l’île de Kyûshû au Kantô, la région de Tokyo, et elle dure du début du mois de juin jusqu’à la mi-juillet. La plupart des établissements scolaires de l’Archipel ferment leurs portes vers la fin du mois de juillet pour les vacances d’été qui durent jusqu’au 31 août. Vers minuit, la grande cloche de tous les temples bouddhiques sonne cent huit fois pour annoncer la fin de l’année et pour éliminer cent huit « passions » (bonnô) qui affectent les êtres humains (joya no kane). Article lié : Le 5 mai : « Tango no sekku », la fête des garçons. Le terme shôgatsu désigne à l’origine le premier mois de l’année ainsi que les fêtes et autres rituels qui marquaient traditionnellement cette période durant quatre semaines et en faisaient l’événement le plus important du calendrier japonais. Kimono et yukata sont tous deux de longues robes traditionnelles japonaises, qui se ferment sur le devant et sont maintenues par une ceinture appelée obi (帯). À l’occasion de "Japonismes 2018", le Jardin d’Acclimatation réunit pour la première fois à Paris, 300 artistes pour 3 jours de spectacles. Chitose signifie mille ans, et la grue et la tortue sont des symboles de longévité. Un récapitulatif et un explicatif des jours chômés au japon. La grue est l’oiseau symbolisant la longévité au Japon. Il est constitué d’une branche de bambou ornée de guirlandes, de mini-lanternes et de petites bandes de papier de couleur sur lesquelles on a calligraphié un poème d’amour ou un vœu. Comme en France, toutes les mamans ont un jour qui leur est dédié. ... Les matsuri sont des festivals et fêtes populaires japonaises qui se déroulent dans pratiquement toutes les localités. Elles déposent en guise d’offrande des petits gâteaux de riz et d’autres mets devant ces figurines. La plupart d’entre elles sont liées à une célébration religieuse, le plus souvent shintō. Calendrier de plus de 430 fêtes et événements locaux ou nationaux. Mais très rapidement, elle fut de nouveau malade et hospitalisée. Beaucoup d’enfants mettent le kimono ou le hakama traditionnel et sont pris en photo ce jour-là. Pourtant, elle mourut à l’âge de 12 ans, le 25 octobre 1955 alors qu’elle avait confectionné 644 grues en papier. Les enfants attendent avec impatience l’arrivée du Père Noël et des cadeaux. Article lié : Savez-vous danser l’Awa Odori ? Le 25 octobre : Fête de Sadako Sasaki ou Fête des 1 000 grues. Au Japon, l’année se déroule au rythme des quatre saisons caractéristiques du climat de l’Archipel. Et ils mangent des gâteaux de riz enrobés de pâte de haricots rouges, appelées ohagi ou botamochi selon les régions. Depuis quelque temps, la coutume de la bûche de Noël – dans l’Archipel, en général, elle a la forme d’une génoise ronde fourrée aux fraises – a pris une telle ampleur que cela donne un énorme surcroît de travail aux pâtissiers japonais. On les porte le plus souvent avec un kimono ou un yukata pendant les matsuri (les fêtes traditionnelles), mais elles peuvent très bien s’accorder avec les vêtements occidentaux. Ils portent des vêtements traditionnels et mangent la cuisine traditionnelle du Nouvel An (osechi), ainsi que des zôni, des morceaux de gâteaux de riz glutineux pilé (mochi) servis dans un bouillon à base de légumes et de poisson agrémenté de divers ingrédients en fonction des régions. Le Japon est empreint de traditions et de fêtes. Cette coutume, appelée bon odori (danses de la fête des morts), avait à l’origine pour but d’accueillir, de réjouir et de renvoyer les esprits des défunts. Beaucoup d’entreprises accordent des congés à leurs employés O-bon, bien qu’il ne corresponde à aucun jour férié. Documents joints. Les lieux les plus réputés pour le hanami sont toujours envahis par des foules avides de contempler la beauté éphémère des délicates fleurs roses et blanches des cerisiers japonais. Partez à la découverte des douceurs populaires japonaises mais aussi des spécialités locales ainsi que d’autres pâtisseries encore méconnues. Les Japonais se rendent chez les personnes âgées pour les remercier d’avoir travaillé et leur souhaitent une longue vie. Décor typique du tsukimi, une coutume qui consiste à « contempler la lune ». Ces trois âges ont été choisis en fonction de la croyance selon laquelle les chiffres impairs seraient de bon augure. Ces réunions sont censées leur permettre d’ « oublier l’année » ou du moins les moments difficiles qu’ils on vécu. Inspiré des méthodes traditionnelles japonaises , itakumeal vous permet de cuisiner un repas complet en une seule cuisson grâce à ses compartiments séparés. A l’instar du Nouvel An, O-bon décalé d’un mois est un des moments privilégiés de l’année pour les réunions familiales (voir ci-dessus). Article lié : Gion Matsuri et l’hospitalité légendaire des Kyotoïtes. La fête du Sport est un événement si important dans le calendrier scolaire que les établissements situés en dehors des grandes villes ont tendance à se regrouper pour le célébrer ensemble. A la fin de la fête, des offrandes sont déposées dans les rivières ou la mer pour raccompagner l’esprit des ancêtres. Les parents accompagnent les garçons de trois ou cinq ans et les petites filles de trois ou sept ans au sanctuaire du quartier pour prier. Les deux idéogrammes (shômon, littéralement « portail au sourire ») inscrits sur la tablette de bois sont censés tenir à l’écart les esprits malfaisants. (À droite) Une boîte contenant des gâteaux de riz que les Japonais consomment au moment de l’équinoxe. 8 novembre 2008 - Word - 530 ko. MAJ! Les nouveaux élèves sont accueillis dans leur établissement par une « cérémonie d'accueil à l’école » (nyûgaku shiki). Et tous les ans, des enfants du monde entier plient des grues et les envoient à Hiroshima. (À gauche) Exemple de figurines exposées lors de la fête hina matsuri. Le 3 mai : Kenpô kinen-bi, Jour de la Constitution. La vapeur circule entre les étages pour une cuisson plus rapide , moins coûteuse en énergie et plus saine. Le 15 novembre : Shichi-Go-San, Fête des enfants de sept, cinq et trois ans. Ceux-ci sont conviés à une cérémonie organisée par la mairie de leur lieu de résidence. Chaque Japonais allume alors des feux et des lanternes pour leur souhaiter la bienvenue. Recettes japonaises. En l’honneur des jeunes gens qui fêtent leurs 20 ans pendant l’année scolaire, des cérémonies célèbrent dans tout le pays cet anniversaire qui symbolise le passage à l’âge adulte et à l’indépendance. Le deuxième lundi de janvier : Seijin no hi, Journée de l’entrée dans l’âge adulte. Cest pour cette raison que les obis sont si élaborés. La culture japonaise a subi un apport considérable des cultures chinoise et coréenne, avant de connaître une longue période d'isolement par rapport au monde extérieur (sakoku) sous le shogunat Tokugawa jusquà l'arrivée des « bateaux noirs » et l'ère Meiji. Depuis 1988, les Japonais célèbrent l’anniversaire de l’empereur Showa qui aimait particulièrement planter des arbres. Sadako sembla sortir indemne de ce bombardement. Les Japonais placent, en offrande à la lune, des boulettes de riz et des grandes herbes sur le bord de leur fenêtre. Le Japon n’est pas à proprement parler un pays de tradition chrétienne. Le obi est la ceinture indissociable du kimono et mesure 360 cm de long sur 30 cm de large. Les cerisiers s’épanouissent d’abord dans le Kyûshû, au sud de l’Archipel, puis à l’ouest, au bord de la mer du Japon, et petit à petit le phénomène gagne tout le pays, en remontant vers le nord. La fête des Étoiles du Bouvier et de la Tisserande (Tanabata) a lieu, en général, le 7 juillet, dans pratiquement tout l’Archipel. A la mi-juillet, les Japonais rendent hommage aux esprits des défunts, en particulier ceux de leurs proches parents et de leurs ancêtres. Articles liés[Diaporama] Paysages de cerisiersSakura : le cerisier en fleur annonce l’arrivée du printempsHanami : le pique-nique sous les cerisiers en fleur. Elle grandit normalement. Les enfants reçoivent des pochettes qui représentent une grue et une tortue et contiennent des friandises en forme de bâtonnets rouges et blancs appelées chitose-ame. De nos jours, on célèbre cette fête pour tous les enfants. Beaucoup d’entreprises installées dans les grandes villes accordent des congés à leurs employés pour qu’ils puissent rendre visite à leurs parents et à leur famille dans leur région d’origine. La coutume veut aussi que l’on nettoie les tombes et qu’on y dépose des offrandes. (À droite) Un bol de zôni, un mets consommé par les Japonais à l’occasion du Nouvel An. Retrouvez les saveurs et la subtilité des pâtisseries typiquement japonaises grâce à cette section dédiée aux desserts traditionnels japonais. Le phénomène est d’une telle ampleur qu’il existe une expression kisei rasshu – littéralement le « rush du retour au pays » – pour le désigner. Le 31 mars : Shunbun no hi, Equinoxe de printemps. Sur le plateau, on a disposé des boulettes de riz glutineux (tsukimi dango). fiche culturelle fêtes traditionnelles japonaises; fiche culturelle fêtes traditionnelles japonaises. (À droite) Décor caractéristique de l’intérieur d’une maison, à l’occasion du tango no sekku, avec des figurines représentant, entre autres, un casque et une armure de guerrier. Quand elle en eut réalisé 500, elle se sentit mieux et put rentrer chez elle. C’est aussi le moment où l’on se procure les ingrédients nécessaires pour préparer les mochi et les autres mets caractéristiques du Nouvel An. Sa meilleure amie lui raconta alors une vieille légende japonaise : si l’on fabriquait 1000 grues en papier, notre vœu serait exaucé. Dans beaucoup de maisons, on installe un sapin et des décorations de Noël. Néanmoins, les familles où il y a des garçons observent des rites particuliers à leur attention : elles exposent des armures et un casque de guerrier, et font flotter au vent des bannières en forme de carpe. Le bouquet se compose de plantes caractéristiques de l’automne, entre autres d’épis de miscanthe (susuki), de fleurs jaunes de patrinia (ominaeshi) et de fleurs de lespédèze (hagi). Il consiste en un bouillon de légumes et de poisson ou de viande agrémenté de mochi. samedi 8 novembre 2008. Je vous parle dans cette vidéos des fêtes traditionnelles Japonaises et des jours fériés! Ce jour est férié. Par grand froid, durant les beaux jours, du matin jusqu'au soir, elles nous suivent au quotidien. Mais à l’heure actuelle, elle se limite bien souvent à un prétexte pour se distraire pendant les nuits chaudes de l’été japonais. calendrier. Ils se rendent à un sanctuaire shintô ou dans un temple bouddhiste pour la « première visite de l’année » (hatsu môde). À Tokyo, la floraison commence en général au début du mois d’avril et elle dure environ une semaine. Dans le calendrier luni-solaire traditionnel, le terme setsubun désigne la veille d’un changement de saison. Les Japonais se regroupent afin d'assister au premier lever du soleil. Circonscription. Ce moment de l’année se caractérise aussi par des embouteillages monstres et des foules de voyageurs dans toutes les formes de transport en commun. A la veille du printemps japonais, ils jettent des haricots secs pour chasser les démons et s’attirer la chance. Voici un aperçu, mois après mois, des événements les plus importants du calendrier japonais. Tout au long de l’année, les Japonais célèbrent leurs habitants et leur pays. Mi-septembre : Tsuki-mi, Contemplation de la lune. fête À cette occasion, un grand nombre d’établissements scolaires et de municipalités organisent une fête du Sport (undô kai) très animée qui dure toute une journée et comporte des épreuves d’athlétisme, de gymnastique et de danse. (Photographie de titre : au Nouvel An, les Japonais se rendent dans un sanctuaire shintô comme celui-ci, le Meiji Jingû de Tokyo, qui accueille chaque année près de trois millions de visiteurs en l’espace de trois jours. A l’occasion de cette journée, les Japonais se consacrent au sport et prennent soin de leur corps et de leur esprit. - un calendrier 2020 avec nos fêtes traditionnelles japonaises favorites. Une des plus importantes de ces manifestations est le Festival pyrotechnique de la rivière Sumida qui a lieu à Tokyo, le dernier samedi du mois de juillet, et attire plus d’un million de spectateurs. C’est la fête des morts (O-bon ou Bon), une célébration d’origine bouddhique qui dure trois jours. Malgré les épreuves, elle continua à faire des origamis de grues. Toutes les personnes présentes au bônen kai peuvent ainsi se mesurer d’égal à égal. Certaines geta peuvent avoir deux dents sous la semelle, une seule ou aucune dent. Des élèves d’une école primaire en train de pousser une balle géante, lors de la fête du Sport de leur établissement. Ils nettoient l’autel, déposent des offrandes et prient pour leurs ancêtres. On dépose des offrandes devant les dites poupées sous la forme de saké blanc (shirozake), de petites galettes sèches de riz colorées (hina arare) et de fleurs de pêcher – d’où le nom de fête de la Saison des Pêchers (momo no sekku) que l’on donne aussi à cette célébration. Elle commence et finit par un jour férié, le 29 avril étant le jour anniversaire de la naissance de l’empereur Shôwa (Shôwa no hi) et le 5 mai, la fête des enfants (kodomo no hi). Au moment de la fête des morts, les habitants de l’Archipel se réunissent sur la place principale de leur quartier ou de leur village. Deuxième dimanche de mai : Haha no hi, Fête des mères. L’année scolaire japonaise commence au début du mois d’avril. Ceci est notre prière. À l’heure actuelle, il correspond plutôt à la première semaine de l'année. Le 11, on retire les pâtes de riz « en forme de miroir » (kagami mochi) du petit autel shintô ou bouddhique de la maison où ils avaient été déposés en guise d’offrande après quoi, on les mange et on prie pour que la nouvelle année soit harmonieuse. Au mois de décembre, les Japonais ont coutume de se réunir entre collègues de bureau ou entre membres de clubs et d’associations. Les fêtes traditionnelles japonaises se succèdent les unes après les autres, tout au long de l’année. Il y a différents types de geta que l’on porte selon son statut social ou selon l’occasion. Voici quelques exemples de fêtes importantes dans l’année et permettant l’élaboration du sentiment national, si développé, dès le plus jeune âge. Le 29 avril : Showa no hi, Journée de l’ère Showa. Le 3 février : Setsubun, Cérémonie du lancement des haricots secs. Au printemps, les Japonais ont coutume de se promener et de pique-niquer sous les cerisiers en fleurs. MON ATELIER ORIGAMI vous propose des animations culturelles japonaises autour des fêtes traditionnelles nippones en région PACA. Elle était joyeuse et pratiquait de nombreux sports, notamment la course à pied. Troisième lundi de juillet : Umi no hi, Journée de la mer. Au Japon, l’équinoxe de printemps (haru higan) correspond, au même titre que l’équinoxe d’automne (aki higan), à une période consacrée à des rituels en l’honneur des défunts qui s’étend sur une semaine, trois jours avant et après l’équinoxe proprement dite. Shichi-Go-San, Fête des enfants de sept, cinq et trois ans, Kinrokansha no hi, Journée en l’honneur du travail, Tenno-tanjobi, Anniversaire de l’empereur. Aujourd’hui, dans le Parc de la Paix d’Hiroshima, il y a une statue de Sadako tenant une grue en or dans ses bras ouverts. L’usage veut aussi que l’on se lève tôt – à moins que l’on préfère passer une nuit blanche – pour assister au premier lever du soleil (hatsu hinode) de l’année. Une mère et sa fille sur le chemin de l’école pour la ceremonie d'accueil des nouveaux élèves : une scène typique du mois d’avril, où débute l’année scolaire au Japon. Ateliers origami et autres ateliers créatifs, installations décoratives et poétiques autour des fêtes Hina matsuri, Hanami, Kodomo no hi, Tanabata, Kiku no sekku, Nouvel an japonais, etc. Ces danses perdirent leur caractère religieux et vinrent à être des fêtes liées à l'été avant de devenir simplement d’importante réjouissance populaire durant l’ère Edo (1603-1868). Le grand nombre de jours fériés et le temps en général agréable qui vont de pair avec la Golden Week, font que c’est une période où les fêtes, les manifestations sportives et les lieux touristiques de l’Archipel sont littéralement envahis par les foules. Ils font le « grand ménage » (ôsoji) de la maison et des provisions pour le shôgatsu. Trois jours plus tard, c’est le tour du parc du Mémorial de la paix de Nagasaki, à l’endroit précis où la seconde bombe atomique est tombée, le 9 août 1945. Les fêtes traditionnelles japonaises «Matsuri» prennent des formes très variées selon les régions. Les Japonais commémorent la fondation de leur pays. Le hina matsuri est traditionnellement associé à deux mets japonais, le chirashi zushi (sushi « éparpillé ») qui consiste en un grand bol de riz vinaigré recouvert de différents ingrédients, et la soupe aux palourdes. - un coupon de livraison gratuite pour ta première commande à Slow Kyoto. Le 13 juillet, les esprits des défunts sont censés revenir chez eux, se restaurer et se reposer. C’est ce qu’ils appellent « contempler les fleurs » (hanami). Matsuri (Fêtes traditionnelles japonaises) -La redécouverte de l'esthétique et de l'esprit du Japon – Une manifestation culturelle sur le thème des fêtes traditionnelles japonaises, comprenant entre autres une conférence et un symposium, sera présentée au siège de l’UNESCO à … Paix dans le monde ». Elle se compose d’une corde rituelle en paille de riz (shimenawa), de feuilles de fougère, d’une orange amère (daidai) et d’une bandelette de papier (shide), qui constituent autant de symboles de bon augure. Les matsuri sont un élément important de la culture japonaise depuis des siècles et chaque Pour les guider, leur famille place des lampes le long de la route qui va du cimetière à la maison. Le soir du 15 juillet, on dépose des petites lanternes de papier et de bambou dans le courant d’un cours d’eau, symbolisant ainsi le retour des esprits des morts dans l’au-delà. Le 7, beaucoup de Japonais consomment du gruau au sept herbes (nanakusa gayu), une préparation censée les préserver de toute maladie pendant l’année. Principalement composée de poisson et de produits frais, elle permet une alimentation équilibrée mais aussi très savoureuse. Durant toute cette période, les médias japonais se font largement l’écho d’appels en faveur du désarmement nucléaire et de la paix dans le monde. Ce jour-là, les familles dressent des mâts au sommet desquels on accroche de grandes bannières en forme de carpes colorées (koi nobori) qui flottent au vent un peu partout dans l’Archipel. Ils continuèrent ensuite à faire des origamis et bientôt, de nombreuses écoles japonaises se mirent à confectionner des grues en souvenir de Sadako. Aujourd'hui encore plus qu’hier, le côté festif prend le pas sur le sacré. La subtile harmonie entre travail sérieux et bonne ambiance lors des cours qui vous amènera plus loin sur la voie de la souplesse…. Pendant les trois premiers jours de l’année (sanganichi), le pays tourne au ralenti, une grande partie de l’activité économique étant suspendue. Chaque mois comporte en outre des fêtes, des célébrations, des rites et des coutumes – certains très anciens, d’autres plus récents – qui lui sont propres et lui donnent toute sa signification. Du nouveau au B.O. (À gauche) Un exemple de décoration traditionnelle (shimekazari) placée à l’entrée des maisons japonaises, à l’occasion du Nouvel An. On décore le petit autel bouddhique de la maison, on y fait diverses offrandes et on demande à un moine de réciter un sutra à la mémoire des membres de la famille défunts. Ce jour-là, les familles où il y a une petite fille exposent des poupées vêtues d’habits traditionnels et y ajoutent des fleurs de pêchers. À cette occasion, les habitants de l’Archipel décorent volontiers leur maison, en particulier l’entrée, le petit autel shintô ou le tokonoma, une niche aménagée dans le mur de la pièce principale où l’on expose des objets d’art et un arrangement de fleurs. Ils se différencient principalement par leur usage. Le 6 août, des cérémonies se déroulent dans le parc du Mémorial de la paix de Hiroshima, en souvenir du jour où une bombe atomique a été larguée sur la ville, en 1945. La plupart des fêtes traditionnelles de l'été étaient à l’origine destinées à repousser les épidémies ainsi que les parasites et les maladies affectant très souvent les cultures durant cette période de l’année. Directement inspiré de la technique artistique issue de l'art japonais Ukiyo-e que l'on peut traduire par "les images du monde flottant" (dont la fameuse œuvre d'Hokusai, La Grande Vague de Kanagawa, fait partie), les créations d'Ono Tako rappellent les célèbres estampes japonaises traditionnelles sur bois, typiques des XVIIe et XIXe siècles. La fête de Gion – Gion matsuri qui a lieu du 1er au 31 juillet à Kyoto – et la fête de Tenjin – Tenjin matsuri qui se déroule du 24 au 25 juillet à Osaka – figurent parmi les plus célèbres de ces manifestations. ), coutume En 1955, elle se sentit mal. Grâce à Sadako, la grue en papier est devenue un symbole international de la Paix. Le 11 février : Kenkoku kinen no hi, Jour de la fondation du pays. Les familles où il y a des fillettes se réjouissent de voir celles-ci grandir en bonne santé. La veille du 1erjanvier, les Japonais mangent des soba, des nouilles faites à partir de farines de sarrasin et de blé, afin d'avoir une longue vie. Les habitants de l’Archipel entreprennent de nettoyer leur maison de fond en comble, y compris les autels shintô et bouddhique et tous les objets sacrés qu’elle contient. Article lié : Le 7 juillet : « Tanabata », la fête des étoiles. Une petite fille vêtue d’un kimono traditionnel dans un sanctuaire shintô, à l’occasion de la fête des Enfants de sept, cinq et trois ans (Shichi go san). Pour découvrir le Japon et ses fêtes traditionnelles sur chaque mois de l'année, des courts récits, des activités manuelles et des recettes. Mais la compétition pour accéder aux écoles les plus prestigieuses n’en reste pas moins extrêmement féroce. saison Les fêtes traditionnelles japonaise. Ces commémorations montrent le respect et l’attachement qu’ont les Japonais pour leurs enfants, les personnes âgées, la nature et leur pays. Cette fête montre l’attachement que tous les Japonais doivent porter à la nature. Fêtes traditionnelles au Japon. Toutefois depuis l’an 2000, cette célébration a été reportée au second lundi du mois d’octobre. Il s’applique en particulier à la veille du printemps qui se situe entre le 3 et le 4 février. Les Yakisoba est un plat populaire au Japon, mais il est originaire de Chine.