23 ans, souteneur. Assomment à coups de bâton et étranglent aussi François et Julie Tortel, frère et soeur, 80 et 81 ans, demeurant à Chambois le 03 janvier 1908, et mettent le feu à la maison pour dissimuler leur crime (ce qu'ils réussissent, puisque jusqu'à leur arrestation, cette double mort passe pour accidentelle). Le 30 décembre 1945, à Yzosse, tue de cinq coups de hache la veuve Darregert, née Emma Saint-Jean, pour la voler. 31 ans. Tua le 11 janvier 1886 à Wiry-au-Mont la Veuve Piedecoq, 80 ans, et sa fille Léonide. Tue à Paris Gaston Jobin, 40 ans, sommelier, avec la complicité d'Estelle Jobin, 36 ans, dont il était l'amant, le 23 mars 1919. Le 01 novembre 1963, dans le quartier Dumaine, au François, étrangle Pierre Louisy, 76 ans, et vole son portefeuille. Dans des circonstances similaires, étrangla dans son lit Mme veuve Legendre, 75 ans, le 05 avril 1912 à Andrésy, et vola le peu que contenait la maison. 45 ans, commis principal des contributions. Voleurs, détrousseurs et assassins dans le Nord et la Haute-Vienne. Après une discussion mouvementée, il tire huit coups de feu sur les occupants de la maison, tuant Mme Grand-Jean, blesse très grièvement sa fille Claudine Grand-Jean, 20 ans (au point qu'elle en reste pendant plus de deux ans à l'hôpital), et la garde-barrière suppléante, Arlette Vergnaud. 45 ans. Le 8 janvier 1948, attaque à la sortie d'un bar d'Harfleur un inconnu pour le dévaliser. PARRICIDE. 26 ans, Maltais, ouvrier agricole. Abat à coups de revolver dans la forêt de Font-Froide, à St-Clément-la-Rivière, le 17 novembre 1876, sa femme (en instance de divorce) Victoire, née Nazon, et sa belle-mère, la veuve Nazon. Il s'enfuit avec les habits, les souliers et les papiers d'identité de sa victime. 41 ans. 19 ans, domestique de ferme. Gracié le 13 novembre 1959. CONDAMNATION POLITIQUE. Apprenti marin au 5e dépot des équipages de la flotte. L'homme mourut à l'hôpital de Thionville le 13 août 1948. Exécution prévue à Boulogne-sur-Mer. Satyre assassin de Marguerite Flesch, 15 ans, qu'il viole, étouffe et égorge de deux coups de canif dans la forêt de Moyeuvre le 4 novembre 1895, près de Briey. Licencié le 15 novembre 1895 à Jubécourt par son patron, Pierre Gueusquin, meunier, mais rembauché le lendemain, se venge dans la nuit du 16 au 17 novembre, en tuant à coups de poinçon dans le cou deux chevaux et blessé gravement une jument de son maître. Détenu à la centrale de Poissy pour vagabondage et outrage à magistrats, tente d'assassiner le gardien Hamelin, le 15 octobre 1874, d'un coup de barre de fer. Hermance est condamnée à 20 ans de travaux forcés. Pour le voler, étrangla avec un mouchoir l'aubergiste Chossière, à Sauviat, dans la nuit du 11 au 12 septembre 1884. Condamné pour vols et désertion. Marguerite grâciée, Fernand exécuté le 08 février 1927. Tue d'un coup de couteau dans la nuque le 06 mars 1888 à la Balme son colocataire Joseph Roux, colporteur, trentenaire, pendant que celui-ci dort, vole ses marchandises, coud le corps dans un sac avant de le jeter dans le Rhône, où il est repêché le lendemain. Abat de deux coups de fusil Marie-Joséphine Choumil, née Pintaparis, 24 ans, sa femme dont il était séparé, le 30 septembre 1871 aux Mathes. Deroo, 30 ans. Comparaît une première fois le 09 octobre 1892, mais le procès est repoussé sine die le temps de procéder à des examens mentaux supplémentaires. 24 ans, empoisonna son mari Joseph, cultivateur, en lui faisant manger du fromage blanc à la strychnine le 02 juin 1921 à Saint-Blin. S'introduit le 28 août 1907 à Tourcoing dans un immeuble appartenant à sa tante pour le cambrioler, et tue à coups de marteau Pauline Allentin, 42 ans, domestique, et Madeleine Vanderveghen, 12 ans, qui l'avaient surpris en pleine action. Abattu par les policiers pendant les recherches, le 11 mai. Son complice, Ernest Lechypre, 16 ans, valet de ferme, est acquitté et envoyé en maison de correction jusqu'à sa majorité. Tue à coups de couteau son neveu Baudin après une dispute quant à un testament commun, puis tente de se suicider en se poignardant dans le ventre, puis en s'étranglant et finalement en avalant du verre pilé à Thiancourt. Le 19 août 1871, près de la Bastidonne, poignardent un certain Oscar Loneux pour lui voler une montre, des vêtements, son portefeuille. Arrêt cassé le 12 mai 1955, rejugé à Grenoble. 26 ans. 41 ans, jongleur. Son complice Luigi Gualdi, 24 ans, charpentier, manque être appréhendé le 05 à Lurs, à la ferme de la Serre, par... Gaston Dominici et son fils Clovis ! 23 ans. Wladislas Turowiecki, ancien compagnon de Mme Gagneux, est condamné à six ans de travaux forcés, et Buchzyncki à huit ans. A St-Barthélémy, le 24 mars 1933, satyre assassin de la petite Simone Soleau, 6 ans, qu'il frappe de deux coups de manche de couteau sur la tête, avant de la violer, de l'égorger et de la mutiler. Rejugé à Rouen, condamné à perpétuité le 19 novembre 1915. Le 22 août 1919, à Chambray, tue Mr Monmarche, sa soeur, Mme Vouteau, tue puis viole la bonne Marie Thillier. Assassin du capitaine Rodrigue, de Narbonne. 37 ans, cultivateur à Cubnezais. 38 ans, repris de justice. Butin : 6.000 francs. 29 et 27 ans, Polonais. Pénètre par effraction, dans la nuit du 19 au 20 avril 1878, chez la veuve Demiautte, 76 ans, à Liguy-Tilloy, à qui il casse la tête à coups de ciseau à froid avant de voler une somme indéterminée. Exécution prévue à Marseille. Grâcié le 07 février 1964. Leurs complices, Roland Caron, Rubens Aroltonian sont condamnés à vingt ans de travaux forcés. Millet est seul à signer son pourvoi, arrêt cassé. Dans la nuit du 28 au 29 janvier 1873, au 20, rue Meunier à Villeurbanne, tua à coups de couteau sa mère Hortense Posty, son beau-père Louis Guérin, 68 ans, ancien receveur de navigation, et sa demi-soeur Esther, 21 ans. Le complice Blanc est condamné à cinq ans de réclusion. PARRICIDE. Ses complices, Marcel Pichonat et Gabriel Fournier, sont condamnés à huit ans de travaux forcés. 28 ans, navigateur. Après avoir pensé à une vengeance - M.Anglaret, résistant, avait tenu une place de premier ordre dans les comités d'épuration locaux -, simple crime crapuleux, commis pour récupérer 100.000 francs. Louis Guénard, Jean-François Prouste et Eugène Quillou. soupçonné du meurtre des deux précédentes, en 1860 et 1861. Tua le 14 octobre 1945 à Dombrot-le-Sec ses grands-parents à la serpe et à la hache, avec sa maîtresse Renée Lefevre. A Marseille, empoisonne avec des champignons sa femme Rose-Marie Colombino en 1871, puis son fils Joseph, 20 ans, le 30 mars 1875 pour récupérer l'intégralité de l'héritage de sa défunte épouse. Joulia grâcié en raison de ses faits d'armes durant la Première Guerre Mondiale, Maucuer guillotiné à Marseille le 30 avril 1934. Condamné par les assises de Dordogne - sa compagne condamnée à perpétuité. Dans la nuit du 05 au 06 décembre 1931, s'introduisirent dans la maison de la veuve Lamy, 67 ans, demeurant à Lolif. Braconnier, tire un coup de fusil sur la fenêtre de M.Cherrier, garde-chasse, dans la nuit du 24 au 25 décembre 1920 à Champcevrais, pour se venger de ses précédentes dénonciations qui lui avaient valu plusieurs amendes. Il comptait hériter plus rapidement de ses proches. A Taulé le 21 mai 1892, assassine à coups de sabot pour les voler Françoise Jaffrès, veuve Tanguy, et sa fille Jeannie. Sequevale est condamné à perpétuité. 24 ans, ouvrier forgeron. L'enquête a finalement abouti au principe du fichage ADN en France. Assassine, le 25 février 1929 à Frétigney Mme Cartenet pour la voler également. 26 ans, terrassier. Sans profession. Ouvrier de chantier, 36 ans. Brise à coups de pince-monseigneur le crâne de sa grand-tante, la veuve Hell, 70 ans, avant de l'étouffer avec un bâillon au cours d'un cambriolage, à Neuilly-Plaisance, dans la nuit du 23 au 24 janvier 1932. 52 ans, cultivateur à Taintrux. 18 ans, couturière. Exécution prévue à Remiremont. 40 ans. Vole la bague et les boucles d'oreille de sa victime. Le 21 juillet 1937, Weidmann enlève la danseuse américaine Jean de Koven, 21 ans, et l'attire chez lui dans la villa "La Voulzie", à La Celle-Saint-Denis. Libéré le 27 mai 1871 par les Communards et rejoint leurs rangs à la barricade du boulevard du Prince-Eugène. 37 ans, "apache". Sous prétexte qu'il n'avait pas de quoi les nourrir, tua en les étouffant les deux fillettes (3 mois et 6 mois) qu'il eut avec sa maîtresse en 1916 et 1917 : la Somme étant trop proche du front, son procès eut lieu à Rouen. Il s'était approprié les biens des deux couples qu'il avait assassinés pour les gérer frauduleusement, et a tenté d'assassiner un homme qui voulait lui vendre une Jaguar. Incarcéré pendant sept ans, libéré en 1936. En état d'ébriété, abattit à coups de revolver 7.65, pour voler 3000 francs, les époux Joseph et Marie Joly, 68 et 69 ans, rentiers (le mari était son ancien instituteur), à Saint-Dié le 29 janvier 1952, et vole 3.000 francs et une montre. 35 ans. Assomme à coups de chaise, puis de pelle, le 11 août 1879 à Châteaumeillant, Mme Ferron, pour voler de l'argent afin de payer ses impôts. Assassine le 07 janvier 1882 sa maîtresse Claudine Bardin, 21 ans, chanteuse de café-concert à Châlons-sur-Marne, qui l'avait laissé tomberà cause de sa violence et de son intransigeance. Abat un marin hollandais à coups de revolver le 15 décembre 1917 à Marseille parce que ce dernier parlait avec sa petite amie, Jeanne Léon, dans un bar. Grâcié le 23 novembre 1899. 40 ans. Grâcié le 09 mai 1953. Marin, condamné plusieurs fois pour vols par les tribunaux maritimes, ainsi qu’à trois ans de prison pour attentat à la pudeur, et cinq ans de travaux forcés à Cayenne pour vols qualifiés. Grâcié en septembre 1871 (entérinement le 23). Ivrogne notoire, mécontent d'avoir été licencié, met le feu à la grange de ses anciens patrons, les Chénier, en septembre 1875, et tue Mme Chénier le 19 août 1876 de seize coups de couteau. 28 ans, domestique de ferme. 19 ans. 39 ans. Libéré en conditionnelle le 01 décembre 1959. 30 ans, valet, voleur, ancien Bat'd'Af. 19 ans, tua une vieille dame pour la voler. 30 ans. 48 ans, jardinier. Ayant l'intention de la violer, il la renverse, tente de la maîtriser. Etrangle ses deux filles de 4 et 2 ans dans la nuit du 19 au 20 août 1898 et les jette près des fortifications de Montreuil pour se venger de sa femme, dont il vivait séparé et qui avait refait sa vie avec un autre homme. 32 ans, 41 ans et 43 ans, les deux premiers italiens, le troisième espagnol. 21 ans, Portugais, valet de chambre chez un diplomate portugais. 24 ans, manouvrier. Son complice Auguste Tannoux, 18 ans, est condamné à vingt ans de travaux forcés. Propriétaire à Roumazières, mit dans la nuit du 04 au 05 février 1890 le feu à une maison qui lui appartenait à la Barre-de-Genouillac et habitée par des locataires. Assassine le 02 juillet 1878 sa seconde épouse de trois coups de hache sur la tête et tente de tuer son beau-fils de 22 ans, ne faisant que le blesser légèrement. Alexandre et Alexis Lebon, frères de Georgette et complices, sont condamnés à perpétuité. 24 ans, cultivateur. Le 25 novembre 1945, en compagnie d'un autre soldat, Abd-el-Kader, quitte l'hôpital militaire où il était soigné, et sous la menace d'un couteau, entraîne dans une maison isolée de la rue Saint-Ladre Arsène Leroy, 18 ans, à Montigny-les-Metz, alors que ce dernier sortait d'un bal. Condamné à perpétuité à Bordeaux le 15 mars 1873, arrêt cassé le 17 avril 1873. 34 ans, cultivateur, 27 ans, journalier, et 44 ans, fermière, assassinent à coups de matraque à Monbahus les époux Mautor, âgés de 74 et 67 ans, dans la nuit du 13 au 14 juillet 1921, pour leur voler 4.300 francs, avant de mettre le feu à la ferme. Mobile : le vol, mais Lheur quitta les lieux sans rien prendre car sa maîtresse et complice, Lucienne Mouchet, 16 ans, s'enfuit de l'estaminet prise de panique sitôt le crime commis. Cambrioleur de plusieurs fermes en 1946. Egorgèrent à coups de canif François Berguer, cabaretier de 71 ans, le 08 décembre 1882 à Remiremont, pour voler 25 francs. Assassina d'un coup de pal de charrette le 08 octobre 1876 à Saint-Pierre-de-Buzet Sylvain Baudia, tuilier, pour lui voler 175 francs en or. PARRICIDE, 24 ans. Mobile : une double vengeance. Guay est condamné à vingt ans de travaux forcés. 31 ans, 28 ans et 31 ans. 35 ans, servante de ferme à Marizy-Saint-Mard. Le 10 octobre 1875, assomma à coups de bouteille son ancienne patronne, Catherine Cordier, veuve Mangin, 62 ans, rentière à Maxéville, avant de la tuer à coups de hache, pour voler 12 francs 50, une bouteille de vin et une bouteille de limonade. En avril 1939, tendent un guet-apens au jeune soldat Louis Weiss, entre Puttelange et Diding. Tua de deux coups de trique dans le visage sa femme, Rose Duchêne, 24 ans, le 08 janvier 1890 à Lantic pour toucher l'assurance-vie de 10.000 francs que chaque époux avait contracté au moment du mariage. 19 ans, journalier. Tua la veuve Amiot, rentière, 66 ans, rue des Tanneries à Dijon, sa logeuse, le 22 avril 1886. Leur complice Louis Louis, 30 ans, terrassier, dit "Le Petit Comédien", en fuite, est condamné à mort par contumace. 21 ans, ouvrier potier. 25 ans, Chinois, ouvrier d'usine. 37 ans, cabaretière. Hortensia est condamnée à dix ans de travaux forcés. 18, 19 et 45 ans. Tua le meunier Becker en mai 1950 à Madrange-Zondrange. Au cours de la même année 1869, étrangle, vole et viole trois gars de son âge : Adolphe Cugny, 22 ans, Eugène Foucart, 19 ans, retrouvés morts en pleine rue, et Félicien Malfoy, 26 ans, dont il jette le corps dans un puits de la ville. Tua à coups de pioche à Saint-Vincent-Sterlanges, le 17 février 1882, son patron M.Durand et sa fille Mme Guibot, et blessa grièvement Mme Durand et une fillette, Cécile Bernier. Cordonnier, 22 ans. Frappe de deux coups d'un immense couteau Mme veuve Gouy, patronne d'un hôtel rue de l'Elysée-des-Beaux-Arts, le 09 décembre 1880, pendant qu'il la cambriolait. Démissionnant le 07 septembre 1912, braque avec deux revolvers le comptable de l'entreprise, M.Moulet, puis s'enfuit sans rien voler. Le 10 décembre 1921, il est condamné à vingt ans de travaux forcés. 23 ans, marin et soldat, souteneurs, chefs d'une bande de "nervis" toulonnais. Yden fut suspecté mais jamais ouvertement accusé tant il faisait peur. 22 ans. Vatinel est condamné à perpétuité. Incarcéré à Douai. Assomme puis défenestre sa mère, 81 ans, à Vico. Voisins et amants. Le 08 décembre, arrêté en sortant d'un bar, parvient à s'enfuir. Abat d'une balle dans la poitrine et assomme à coups de tavelle de fer Louis Artillan, 21 ans, époux de sa maîtresse, Marie Lambert, 18 ans, avec la complicité de cette dernière. 41 ans, mineur, déserteur du 1er bataillon d'infanterie légère d'Afrique. Cette dernière est acquittée. Etrangla la petite Paulette Besret, 13 ans, le 24 avril 1944, dans un clocher. Arrêt cassé, rejugé à Versailles. Le 11 février 1950, assassina à Chinon son fils, Paul, 11 ans, en le battant et le jetant dans la Vienne. Huit condamnations préalables pour vol et vagabondage. Grâcié le 21 juin 1963, peine commuée en vingt ans de réclusion. Tua le 26 septembre 1923 à Paris, rue Mathis (19e) son épouse Germaine Vayssière à coups de marteau, puis l'étrangle avec une corde et débita le cadavre pour s'en débarrasser dans la Seine. 28 ans, marchand de bestiaux. Arrêt cassé le 27 septembre 1883. Grâcié le 03 août 1957, obtient sa libération par De Gaulle le 14 juillet 1960. Chef des "Etrangleurs des Alpes". Ricard est condamné à vingt ans de travaux forcés. Submergé de dettes, se rend à Behonne dans la nuit du 1er au 02 janvier 1931 et tue à coups de marteau de maçon Mme Camille Udar, 47 ans, et son fils René, 15 ans. Ivre mort et rendu fou par une simple remontrance, tue sa patronne, Mme Lombard, faubourg Saint-Honoré, en la décapitant à coups de couteau, et blesse gravement la cuisinière Félicie Fiol ainsi que Mme Darve le 28 janvier 1870. 19 ans chacun. Arrêté alors qu'il visite un garage de Salon-de-Provence, il s'enfuit du commissariat en abattant l'agent Amiel qui meurt le lendemain à l'hôpital, touché au foie. Henri, 44 ans, employé à la Préfecture de Paris. Le 03 janvier 1933, à Bruvey, au lieu-dit "Le Hamel", tue avec une hachette Mme Aline Dubois-Facon, 77 ans, pour lui voler sa ceinture de cuir contenant au moins 7.000 francs. 47 ans. 27 ans, mécanicien ajusteur. 29 ans. 31 ans et 28 ans. Tue le 23 janvier 1948 la veuve Paumier, 77 ans, pour lui voler 1310 francs. Jules est condamné à vingt ans de travaux forcés. 46 ans, ouvrier agricole, Belge. Au terme du second procès, Martin est acquitté. Tentant, le 20 novembre 1932, de cambrioler l'hospice de Ludres où il avait travaillé quelque temps auparavant, abat le gardien, Florent Cunin, 56 ans, de quatre coups de revolver. Leur complice Jean Lamarque, en fuite, est condamné à mort par contumace. 38 ans, Belge, peintre décorateur. 20 ans, tuilier. Les sévices qu'il lui infligeait nombreux : enfermée dans l'étable aux porcs, ou devant passer la nuit dans un arbre en plein hiver, tout en étant battue quotidiennement. Le 20 décembre 1938, tua Christiane, son enfant de 4 ans qu'il avait eu d'un premier mariage, à force de mauvais traitements. Antonio Estève, Manuel De Souza et Paul Carbonne. Son complice Jules Oppel, 18 ans, est condamné à huit ans de travaux forcés. Accouche d'un troisième enfant, un garçon, le 26 décembre 1873 à Sainte-Marie-aux-Anglais, et l'étouffe immédiatement. PARRICIDE. Bénéficia de la grâce automatique le 09 octobre 1981. 24 ans. Tente de s'évader le 24 janvier 1981, pourvoi en cassation rejeté en mars. 48 ans, domestique, tua sa patronne, la Veuve Madelmont, qu'il poursuivait de ses assiduités le 10 janvier 1920. Agresse à coups de pioche le 11 octobre 1945 à St-Senier Mme Blier, 60 ans, une lointaine cousine, pour lui voler 600 francs, avant de la laisser mourir dans son lit, asphyxiée sous un tas de couvertures. Abat le 26 mars 1918 à Aranc d'un coup de fusil en pleine figure, tiré à bout portant, Abel Jasseron, ouvrier, 66 ans, après une querelle. 35 ans, manouvrier. Eglantine est acquittée. Tente d'assassiner à coups de revolver et de marteau le 05 septembre 1906 à Marseille les époux Bouverot, changeurs, pour les voler. Condamné à 5 mois de prison pour vol en juillet 1961. Elle survit mais perd son enfant à naître deux jours après l'agression. 39 ans, blanchisseuse à Cherbourg. Les complices furent condamnés à perpétuité. Etrangle avec son foulard le 21 mai 1882, passage Cépré à Paris, M.Seguin, tâcheron, pour lui voler sa montre ainsi que les deux francs de son porte-monnaie. 27 ans, anarchiste. Tua à coups de marteau à Calleville, Mr Prévost, charcutier à la retraite, le 12 septembre 1948 et vole 2.500 francs et un harmonica. Etrangle la veuve Chabrol chez elle au hameau de Rampon le 27 décembre 1944. 30 ans, forgeron, et 43 ans, ménagère. Le 24 octobre 1942, rue des Abbesses, tua à coups de bouteille Mme Gabrielle Fauvet, épouse d'un co-détenu, pour lui voler 60.000 francs. Peine commuée en vingt ans de réclusion, le 17 septembre 1908, ce qui le dispense d'être envoyé en Guyane. Recherché par la police suite à une plainte déposée par son père, concernant un vol d'obligations supérieur à 500 francs, tenta, le 30 juin 1877 au 26, rue du Petit-Carreau, de tuer son frère Charles, 35 ans et son beau-frère Ducastel, qui avaient insisté pour qu'il soit arrêté. Condamné par erreur, les jurés signent tous un recours en grâce. En cas de commutation supérieure (vingt ans ou dix ans de travaux forcés), l'information est mentionnée. Docker. 59 ans, ouvrier agricole au chômage et sans domicile, voleur récidiviste. Egorgea à coups de rasoir le 1er avril 1922 Mme Rolland, repasseuse, son ancienne maîtresse, et Mathilde, cinq ans, leur fillette, parce que la jeune femme refusait de revenir avec lui. A la demande de Gilberte, sa maîtresse, Gaston abat de six balles de revolver son mari Olivier Tessier, 32 ans, cantonnier aux chemins de fer, sur la route entre Vieille-Eglise et Rambouillet, le 04 février 1936. 27 ans, cultivateur à St-Vincent-de-Salers. Assassina le 11 décembre 1882 à Mérignac les époux Lassalle, couple de septuagénaires, à coups de pince de fer (pesant 7 kgs), pour voler 400 francs. 51 ans. Arrêt cassé, rejugé à Pau, condamné le 08 février 1895 à perpétuité. 27 ans, fonctionnaire des Postes. La victime fut pendue, et son corps transporté en train dans une malle retrouvée un mois plus tard à Millery (Rhône). Dénoncé en 1953 pour ses deux premiers crimes par un complice cambrioleur. Le 14 mai, ils servirent au malheureux une soupe assaisonnée de mort-aux-rats, qui le tua en trois jours. Abat de six balles, à Saint-Etienne le 12 août 1923, à coups de revolver Augustine Basson, 18 ans, fille d'un cafetier, qui refusait de devenir sa compagne. 26 ans, mécanicien au Creusot. La victime meurt durant l'agression... de peur. Bonvalot avait témoigné contre lui dans une affaire grave : Garnier avait tiré sur un garde-champêtre un an plus tôt, et il avait été condamné à trois mois de prison. Graciée le 21 octobre 1961, peine commuée en 20 ans de travaux forcés. Auteur de plusieurs incendies volontaires, notamment de sa propre maison afin de toucher la prime d'assurance et de rembourser ses nombreux créanciers. 27 ans, boucher. Cambriolant le 01 juillet 1935 à Rombas la maison de ses voisins, les Lang, il est surpris par la jeune Ida, 13 ans, laquelle menace de le dénoncer. Son amant - et amant de sa fille - François Préfol, 23 ans, tisseur, est condamné à perpétuité. Condamné en correctionnelle le 18 avril 1920 à trois mois de prison pour coups et blessures sur Elisabeth et son père Louis. Ce dernier n'a pu être jugé, puisqu'il est mort en prison le 16 avril 1989. 35 ans, valet de ferme. Tuent de quatorze coups de couteau le 20 mai 1911 au bois de Porchefontaine Richard Ferdinand, 53 ans, ouvrier agricole, pour le voler. Le 30 août 1937, à Bazouges-sur-le-Loir, tira quatre coups de fusil sur sa femme et ses deux filles, Marthe et Germaine, alors qu'elles revenaient d'une promenade à bicyclette, avant d'abattre de deux autres coups sa propre mère, Mme Hautreux, qui se précipitait à leur secours. Surpris alors qu'il volait une poule, il tua la veuve Duranton, 70 ans, à Valay le 13 février 1898. Voulait le voir mourir pour hériter et sortir de la délicate situation financière où elle se trouvait. Cet homme de 35 ans originaire de Béthune (Pas-de-Calais) rejoint ainsi la triste liste des ressortissants français condamnés à des exécutions capitales à l'étranger. Dans la nuit du 03 au 04 juillet 1936 à Illkirch-Graffenstaden, assassine avec sa propre hachette - et aussi à coups de couteau - Eugène Beick, maçon, père de six enfants, pour voler son portefeuille contenant 50 francs. Le corps fut jeté dans une fontaine, à 25 mètres de la maison. Assassin de Mme Ragot, cultivatrice et tenta de tuer la fille de cette dernière, le 15 octobre 1919, rue de Cotonar à Dijon.