Concernant le cristal, je pense qu’il peut symboliser la vie, comme “Lui” le dit clairement à la fin. Suffisamment d’ailleurs que pour me donner envie de lui consacrer un article entier d’interprétation. Doctor Who Saison 9 Episode 1 : EXTERMINATE ! Pour le plus grand bonheur de LUI, qui retrouve soudainement l’inspiration. Page 4 : Explications de la fin du film En deux films, "The Chaser" (2008) et "The Murderer" (2011), Kwak Do-Wong est devenu une valeur sûre du cinéma sud-coréen. En la posant sur un socle, les pièces de la maison se restaurent et dévoilent une nouvelle femme. L’EXPLICATION. Très dynamique, le cinéma sud-coréen ne cesse d’intéresser les spectateurs du monde entier. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Au début je pensais qu’il fallait que je choisisse entre ces trois niveaux de lectures mais je pense de plus en plus qu’ils ne peuvent être séparé. La relation entre Dieu et Mère-nature est doublée par cette relation entre le poète et son inspiration (c’est d’ailleurs explicitement dit dans le film). Pour ma part, je trouve justement que certains niveaux de lecture manquent de sens quand on les associe. au milieu de la destruction. Tout d’abord merci pour la critique, En effet, la question de la fécondation (qui devrait être le summum de la pureté) qui s’accomplie dans un acte de luxure est très présente dans l’étonnement philosophique ou même artistique. Je n’accroche pas trop a l’interpretation biblique, sans doute a cause de mon atheisme, désolé! J’avais saisi le thème « religieux », où j’adhère aussi à la vision du Poète comme le Diable : la photo amenée, qui se transforme à un moment, où il est affublé d’un bouc type Satan. avant de parcourir cette analyse. Tout repart bien sûr très vite en vrille, avec l'arrivée de la famille du défunt, puis celle de fans de l'artiste. “Le Poète” résiste aux Flammes Bref, une dualité. Facebook Twitter Pinterest Linked in Tumblr Reddit Facebook Messenger Copy URL. Effectivement très bon commentaire de la part de tous, et le film apporte vraiment de bon débat, les cerveaux chauffent, et c’est ca le principale. Elle met beaucoup de temps à la construire, seule d’ailleurs, par amour. L’amour (sous forme de louanges) qu’il reçoit pour son œuvre passe ainsi avant son amour pour sa femme. Comme si, trop habitué à les utiliser, Darren Aronofsky s’était laissé aller à du recyclage. Ainsi, dans le long-métrage, la forme d’idolâtrie à l’égard du personnage de Javier Bardem peut être perçue comme une critique du fanatisme dangereux de certains fans pour leur artiste préféré. Pas besoin d’être croyant pour percevoir les symboliques bibliques. Un couple sans enfant vis dans une grande maison isolée du reste de la civilisation. Cette réflexion autour de la notion de création et d’artiste peut, bien sûr, facilement s’étendre au réalisateur lui-même, qui a certainement dû susciter/rechercher ce type de réaction au cours de sa carrière. L’HOMME et LA FEMME peuvent en effet être associés à Adam et Eve (on constate d’ailleurs que l’homme a une côte en moins), tandis que les deux frères qui s’entretuent sont Abel et Caïn. Bonsoir, merci beaucoup pour votre critique. » et « quels idiots ces hommes ! est un thriller horrifique particulièrement clivant et opaque. Il y aura forcément qqn pour acquiescer, mais permettez-moi de ne pas être convaincue ni séduite (que ce soit par la forme ou le fond). Bonjour ! L’interpretation de Adam, Eve, Cain et Abel est assez pertinente car elle suggere peut-etre que ce début d’humanité vient a la rencontre de l’univers créateur de Lui! Critique et bande-annonce VOST de I AM MOTHER avec Clara Rugaard, Hilary Swank et Rose Byrne, disponible sur Netflix le 7 juin 2019. Je pense que la bible, certain récit de la mythologie, ou même de simple histoire de couple actuel, ne raconte pas une histoire, mais plutôt un “mécanisme” commun à toute les histoires de l’humanité, ou à toute l’imagination que l’on pourrait avoir en créant une histoire. Actualités 11.12.2020 à 17h02. Les choses ne vont pas en s'arrangeant lorsque leurs deux films débarquent et que l'un deux tue accidentellement l'autre lors d'un conflit lié à leur héritage. Mother film coréen de Bong Joon-ho Incipit : une femme, la cinquantaine, sérieuse, concentrée, dans une grande prairie de hautes herbes, une femme qui vacille, ou qui esquisse un pas de danse, on ne sait… J’espère que mon explication sera suffisamment claire. Ou plutôt de décryptage car le long-métrage demeure au final bien trop dense (dans ses thématiques par exemple) que pour se risquer à une explication catégorique. Cette interprétation n’étant volontairement pas exhaustive, beaucoup de zones d’ombre qui subsistent à l’issue du visionnage n’ont pas forcément été abordées. C’est alors que se dévoile MOTHER (Jennifer Lawrence), une jeune femme sans enfant en couple avec LUI (Javier Bardem). Thriller (Memories of Murder), film de monstre (The Host) ou mélo familial (ce Mother), le Coréen magique Bong Joon-ho s'est fait une spécialité dans le bouleversement des genres, codes revisités et maltraitance des règles.Mais le genre importe t-il tant que ça dans son cinéma? D’ailleurs, MOTHER le cerne très bien à la fin du film en déclarant qu’il ne l’aime pas vraiment, il aime le fait qu’elle l’aime. Il a besoin de l’amour de “Mother”. ( Déconnexion /  Les excès s’accumulent en ce personnage animé d’un amour indéfectible et exclusif pour un fils qu’elle maintient en état de dépendance totale (elle pense pour lui … Watch Korean Drama genre from around the world subbed in over 100 different languages Le culte voué à lui, clairement satanique. Film asiatique : Real (Corée du Sud), Année : 2017. Du coup, merci pour l’avoir postée ! Elle n’a plus besoin du mélange et s’en débarrasse donc dans les toilettes. Ce n’est pas un facteur déterminant dans la cohérence d’un projet je trouve. Dans le même ordre d’idée, on pourra aussi légitimement reprocher au réalisateur l’opacité de son film. Apocalypse ou pas, la Corée du Sud, dans sa version « ciné », ferait peur à Trump himself ! Néanmoins, je ne partage pas (totalement) ton analyse dans le sens où il y a toujours moyen de faire du lien entre les personnages d’un film en extrapolant un peu. repousse encore un peu plus les limites puisque le long-métrage n’est finalement rien d’autre qu’une gigantesque allégorie. Il serait très intéressant de pouvoir avoir une discussion avec le réalisateur car toute hypothèse est viable …. Mais cela peut-être vu aussi de manière plus optimiste : le cycle se répète et peut-être qu’une fois, le cycle se déroulera correctement. ATTENTION ! Jang Tae Yeong vit dans une société contrôlée par un monde souterrain. https://oblikon.net/analyses/mother-explications-du-film-et-de-la-fin Et quand on sait que le réalisateur et son actrice principale ont commencé une relation sur le plateau, on se dit que le jeu des poupées russes entre couple/Bible/création peut aller très loin ! Trois ans après le "blockbuster" religieux Noé, Darren Aronofsky est de retour avec un film plus personnel, Mother!, porté par une sacré brochette de comédiens : Jennifer Lawrence et Javier Bardem dans les rôles principaux, mais aussi Ed Harris, Michelle Pfeiffer, Brian et Domhnall Gleeson et Kristen Wiig. Mais 3e thème : « Relation destructrice » ! Au fil du film, chaque bon moment de leur relation régénère la maison. Or, Mother ! Le réalisateur précise également que “Mother” ne peut être avec un être humain lambda, se qui peut laisser planer le doute si “le Poète” est DIEU ou le DIABLE, J’y vois pour ma part un paralellèle très clair avec la Bible, le fruit défendu, Cain et Abel, l’apocalypse, etc … Tout au long du film, les intervenants vont contribuer à sa destruction, s’appropriant les lieux, souillant les murs, cassant des objets, se rendant dans des endroits interdits… Plus ils sont nombreux, plus les comportements sont intolérables, et plus les dégâts sont importants. Mother! Lorsque Dieu bannit Adam et Eve du jardin d’Eden, il voue Adam à une vie rude pour gagner son pain (peut-être est-ce pour cela que celui-ci est très souvent pris de quintes de toux dans le film) et Eve à un accouchement dans la douleur, d’où la vision d’un sexe féminin en sang. Un couple voit sa relation remise en question par l'arrivée d'invités imprévus, perturbant leur tranquillité. Sa compassion dépasse toujours sa colère. Ma critique sera en ligne la semaine prochaine et si cela te convient, je mettrai un lien vers ton article pour les personnes qui souhaitent une analyse plus détaillée . Il a besoin de l’amour créateur de Dieu pour pouvoir faire le mal. Une thématique omniprésente représentée de différentes façons dans le film : la création artistique (rédaction d’un ouvrage), la création d’une vie (naissance d’un enfant), la création matérielle (construction d’une maison)… Plus que la création en elle-même, le réalisateur s’intéresse ici surtout à ses conséquences sur son créateur et sur les personnes qui l’entourent. – Analyse et tentative d’explication, En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées. Les invités surprise qui s’invitent dans la vie de l’artiste me semblent être des éléments croissants et chaotiques de la vraie vie exterieure qui envahissent la paisible structure mentale (la maison) de Lui. Même si Darren Aronofsky donne une vison “très sombre sur notre monde”, certaines scènes montrent cet espoir: la scène où la maison se régénère, la scène où un policier tente d’évacuer Mother, les nombreuses scènes où “Lui” tente de protéger Mother, la scène où Mother est émue après avoir lu la création de “Lui”. Impossible de le dire avec certitude malheureusement, mais quand on connaît la propension de Darren Aronofsky à traiter des troubles psychologiques dans ses films, on peut se dire que l’idée n’est pas complètement farfelue. Oui exact! L’EXPLICATION. Il y a d’ailleurs un vrai parallèle à faire entre les réactions de la maison aux épreuves de MOTHER et les catastrophes naturelles qui affectent notre monde. En effet, “le Poète” garde caché les enfers (la cave) à “Mother” alors que lui en a connaissance. Si les pistes vous inspirent il y a encore des fils à tirer…. En effet, de la même façon que les intrus détruisent progressivement la maison, Javier Bardem exploite et détruit progressivement sa femme. Une fois son oeuvre-enfant « consommée », l’Inspiration, désormais inutile, préfère, comme une femme désespérée, se détruire et disparaitre elle-même par le feu: Il ne restera plus d’Elle que des cendres de souvenirs… Si LUI trouve dans cette arrivée une véritable bouffée d’oxygène, MOTHER est au contraire perturbée par leur intrusion. Je comprends ce que tu veux dire, et c’est d’autant plus vrai dès que les personnages ont une dimension métaphorique. Il faudrait également prendre en compte la lecture psychologique. Après Snowpiercer, Dernier train pour Busan, Mademoiselle, A Girl at my door, c’est au tour de Kim Seong-hun de suivre les traces de Bong-Joong Ho, Yeon Sang-ho, Park Chan-wook, et autre July Jung. La maison symbolise la relation, portée quasi entièrement par Mother. Je suis assez d’accord avec votre analyse. Cette poudre serait du soufre. Cette analyse complète d’ailleurs plutôt bien la notion de création et d’artiste évoquée dans l’article. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Effectivement, une fois la pierre brisée, le couple est chassé de la pièce et son accès est condamné. Le premier, peut-être le plus évident, est directement lié à la religion, et plus précisément à l’histoire biblique. C’est d’ailleurs aussi le rôle du cinéma, et même de l’art en général, d’inviter à la réflexion. Bref, si l’on ajouté les autres lectures proposées… qui sont également des plus pertinentes , .. C’est une « Oeuvré » à l’image de l’ambition du réalisateur,.. Un peu trop ambitieuse dans doute… Trop fourre-tout… Et, franchement, beaucoup trop prévisible à mon sens à bien des égards. Ou plutôt de décryptage car le long-métrage demeure au final bien trop dense (dans ses thématiques par exemple) que pour se risquer à une explication catégorique. Au détour de quelques séquences, nous apprenons que MOTHER a complètement réhabilité la maison après un incendie, tandis que LUI est un auteur à succès en panne d’inspiration. A chaque maux de cœur, elle ingurgite le mélange comme pour se redonner un coup de fouet, un regain de vitalité, elle qui donne tant sans retour. Comme toujours, avant de plonger dans le cœur du récit, il me paraît d’abord important de rappeler tout le déroulé des événements afin de bien comprendre ce qui se joue sous nos yeux. Une fois la naissance faite, le public attend de contempler son oeuvre-enfant et le consommer, Comme le dit Tarkovski à propos du cinéma, une fois le film créé, présenté et donné au public, l’artiste est dépossédé de son oeuvre et le film aura une vie independante car apprécié et interpreté selon chaque spectateur. Le film démarre plus précisément par les plans du visage d'une femme qui brûle, et par la pose d'un cristal sur un socle qui entraîne la restauration des différentes pièces d'une maison en cendres, comme si elles n'avaient pas été en feu. (Mais très attachants) « … Et : ils en ont de bonnes, hein ?… Bon, j’arrête ! Effectivement, en se rangeant à ce niveau de lecture, la plupart des plans qui composent le film ont du sens, en particulier le final. Voilà. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. « Ils nous tuent dans le commerce, vous savez, puis ils remportent l’Oscar pour un film flippant ! Elle passe sa vie dans une pièce dont la tapisserie évoque le ciel, et elle essaye de représenter quelque chose qui pourrait évoquer des ailes d’ange. Je pense qu’à trop se prendre la tête, on perd la spontanéité du recit et le coté esthetique et visuel de la mise en scene et le jeu des acteurs. Concernant le cave, ne serait-ce pas la représentation de l’Enfer sans compter le feu dans la chaudière ? À son ouverture, ils sont tous retrouvés morts sauf un qui s'enfuit. Et va brûler encore…. On revient à Hobbes et son l’homme est un zombie pour l’homme.Dans ce monde, l’enfer ne vient pas de l’espace (cf Skyline).Elle vient de l’autre qui n’est ni le Nazi (cf Inglourious basterds) ou le Nord-Coréen mais le semblable. Je vais vous faire par de ce que moi j’ai pu conclure de ce film. Je trouve que tout s’imbrique dans le sens où l’on peut relier les différents personnages. Intérêt croissant pour les films coréens après la victoire de «Parasite» aux Oscars. Cette analyse a été rédigée à chaud, après quelques échanges avec d'autres spectateurs.Il y a surement encore plein de choses à dire sur le film et vos contributions sont les bienvenues. Chaque perturbation la détruit un peu plus. La maison renait de ses cendres et dans le lit, une jeune femme se réveille, une jeune femme avec un autre visage. Palmarès Devenir Réalisateur Film Festival, The call sur Netflix : explication de la fin, The Mandalorian Saison 2 : Explication et analyse de la série, Mon inconnue d'Hugo Gélin: analyse du film, Au revoir là-haut d'Albert Dupontel: analyse et explications, (500) days of Summer de Marc Webb: analyse et explications, Analyse de Little Joe par Jessica Hausner, Classements des films de Christopher Nolan : les meilleurs, les plus complexes, les mieux notés, Tenet : théories et explications du film de Christopher Nolan, The Old Guard : explication de la fin du film Netflix avec Charlize Theron, Umbrella Academy : explications de la fin, analyse de la série Netflix et théories pour la suite, Meilleures séries de 2020 sur Netflix et en streaming, Timeless : Rittenhouse, explication de la série et de sa fin, Annecy 2020: The Shaman Sorceress de Jae Huun Ahn (Corée du Sud). Action qui entraîne la restauration de toutes les pièces d’une maison. au Québec est un film d'horreur psychologique américain écrit et réalisé par Darren Aronofsky, sorti en 2017. D'autres pistes de réflexion ? Selon moi, Mother est la représentation féminine de Dieu. (je ne prend pas en compte les films Américano-Coréen comme Stoker de Park Chan-wook et je ne prend pas en compte les films Coréen que j'ai noté a 5 voir moins) Si vous avez des propositions n'hésitez pas je serais heureux de faire de nouvelles découvertes :) Or, elles existent bel et bien. Pas de problème pour partager le lien à la suite de ta critique sinon (j’ai hâte de la lire au passage). La critique cinéma, c’est un métier ! Bien sûr tous les arguments si dessus pourraient être retournés vers un côté plus positif du personnage comme beaucoup le vois. Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d’art l’attend et le cycle créatif recommence. La vie tranquille et la solitude sont interrompus lorsqu'un couple d'étrangers, "L'homme" et "La femme", débarque et s'installe dans leur maison. De plus, il y a un lien intéressant à faire entre l’influence de MOTHER sur LUI et celle de Jennifer Lawrence sur le réalisateur. » aurait tonné le Président américain le soir de la C’est l’histoire d’un père de famille qui se fait kidnapper dans les années 80 et relâché 15 ans plus tard, sans explication. (Eh oui ! Avec le recul, il est toutefois possible de dégager certaines pistes de réflexion permettant de mieux appréhender l’ensemble et, pourquoi pas, de tenter de comprendre ce que le réalisateur américain a voulu nous dire. “Le Poète” pourrait renvoyer a DANTE (et a la “Divine Comédie”) traversant les neufs Cercles de l’enfer. C’est elle qui a interdit à Adam et Eve d’aller dans le bureau. Dans le même esprit, le dépérissement de MOTHER après avoir accouché, ainsi que la perte quasiment immédiate de son fils, est également une belle illustration de notre consommation/exploitation abusive de ressources. Laissez donc un commentaire ! C’est seulement après que les deux autres lectures (la nature et l’artiste) me sont venues et je les trouve tout à fait crédible. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. . ( Déconnexion /  Mother (Jennifer Lawrence) se réveille. A l’image de l’Homme tout bonnement. Il a été présenté en compétition dans la sélection Un certain regard au Festival de Cannes . C’est lui qui provoque toutes les destructions de la maison en laissant les hommes faire ce qu’ils veulent : piller, casser… Mother est une telle allégorie de la vie que Aronofsky voit dieu/l’artiste en une seule personne et pense le processus créatif comme la construction complète d’un monde. Long-métrage d'horreur sud-coréen, Arang (Ahn Sang-hoon, 2006) nous propulse au milieu d'une enquête policière prise en main par la détective So-young et son jeune partenaire, Hyun-ki.En découvrant une affaire sur plusieurs meurtres étranges liées à la mort d'une mystérieuse jeune fille de dix ans, les deux policiers débarquent dans un petit village que l'on dit hanté. L’artiste ne controle plus son oeuvre! Que cela soit le récit de la bible, la notion de la création/destruction, l’histoire de la planète, ou de l’artiste/muse, c’est la même histoire que l’on raconte, et si l’on ne comprend pas l’une, ou que l’on ne l’accepte pas, alors on en créera une autre, mais ca sera la même, juste sous une forme qui parlera au gens. _ un poète qui sèche pendant longtemps dans le film, stérilité que l’on peut relier à des réticences à être père, comme s’il n’assumait pas complètement les responsabilités que cela implique. Très bonne Analyse. Je trouve juste dommage que le tout ne soit pas très subtile, le film aurait peut-être gagné en qualité. A la fin, c’est une autre femme qui prend le relais, mais c’est toujours Dieu, que l’on ne peut en fait représenter. Pour moi, les 3 interprétations s’imbriquent : le message biblique qui fait de Dieu le poète/créateur ultime qui ne parvient pas à contrôler les hommes qu’il a lui-même créé, à cause d’une trop grande compassion ou à cause d’une trop grande mégalomanie .